savoir dire NON

Gérer mentalement l'habitude de plaire aux gens

Gérer mentalement l’habitude de plaire aux gens

Voici un autre exemple d’utilisation pour une habitude toxique courante : le fait de faire plaisir aux gens.

Rassemblez. Prenez conscience des moments où vous avez remarqué que vous faisiez plaisir aux gens, ainsi que des émotions et des sensations physiques associées à ces souvenirs. Qu’avez-vous pensé et ressenti à ce moment-là ? Que pensez-vous et ressentez-vous maintenant ?

Pourquoi ai-je dit oui à ce moment-là alors que je voulais dire non ?

Que s’est-il passé quand j’ai dit oui ? Qu’est-ce que j’ai ressenti ? Cela m’a-t-il aidé ou nui ?

Quand ai-je tendance à faire le plus plaisir aux gens ? Quel scénario, quelle situation ou quel environnement ?

Qui est-ce que j’essaie de satisfaire le plus ? Pourquoi ?

Et si je disais non ? Pourquoi ai-je peur de dire non ?

Est-ce que j’essaie de cacher une insécurité ?

Ai-je peur d’être seul(e) ?

Écrivez. Notez vos réflexions et vos réponses aux questions ci-dessus. Y a-t-il des déclencheurs ? Des schémas ? Pouvez-vous approfondir certaines de vos questions et réponses ? Comment allez-vous reconceptualiser cela et reconfigurer ce que vous allez faire et dire d’une manière qui vous éloigne de la satisfaction des gens […] “

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Revérifiez. Revenez sur ce que vous avez écrit. Y a-t-il des déclencheurs ? Des schémas ? Pouvez-vous approfondir certaines de vos questions et réponses ? Comment pouvez-vous reconceptualiser cela et reconfigurer ce que vous allez faire et dire d’une manière qui vous éloigne de la satisfaction des gens ?

Atteindre activement. Souvent, les gens ont tendance à plaire aux gens comme stratégie d’adaptation pour faire face à la solitude ou même à des problèmes de confiance en soi. Si vous trouvez qu’un manque de confiance en soi est un problème pour vous, votre portée active peut être quelque chose d’aussi simple que de passer plus de temps à utiliser les 5 étapes pour stimuler votre estime de soi, comme l’identité et la construction du cerveau, ou vous pourriez même mettre en place un rappel pour remarquer intentionnellement combien de fois dans la journée vous dites oui ou faites quelque chose pour quelqu’un que vous ne voulez pas faire. “